T h e L o r d o f t h e R i n g s .
« Il y a du bon dans ce monde, et il faut se battre pour y arriver. »
« Il y a du bon dans ce monde, et il faut se battre pour y arriver. »
La meilleure trilogie selon moi. L'histoire est parfaite, les personnages sont imaginés avec une précision au détail prêt, les acteurs jouent merveilleusement bien, les décors sont époustouflants. Frodon Saquet, jeune hobbit, est choisi pour accomplir une longue odysée à travers la Terre du milieu afin de détruire un anneaux maléfique possédant des forces inégalables. Pour cela, il est accompagné de plusieurs de ses amis, ainsi que Sam, son fidèle destrier qui a pour tache de veiller sur lui. Durant leur quête, ils devront affronter les armées d'orques de Sauron, qui sont prêtes à tout pour récupérer leurs terres. La bataille pour la paix a commencé. D'après moi, cette trilogie serait dans la liste des cents films à voir avant de mourir. On ne peut pas espérer film plus parfait: les batailles sont spectaculaires, les effets spéciaux à couper le souffle. Elijah Wood que j'aime énormément inteprête le rôle de Frodon, et il l'incarne avec une réelle émotion. Son personnage fait partie de lui, il le ressent et ce petit détail rend le film encore plus proche du spectateur. A ses côtés, Viggo Mortensen, cavalier invincible, nous rappelle ce qu'étaient les gentlemans d'autrefois, il dégage un tel sentiment de puissante, que même s'il est à l'arrière plan, on ne peut pas admirer quelqu'un d'autre que lui. Ian McKellen, alias Gandalf, vieux magicien et sage, est le messager de la paix et motive ses troupes au combat. Il est difficile de décrocher, j'ai beau le voir et le revoir, je n'arrive pas à me lasser, d'autant plus que la bande son est tout simplement magnifique. Beaucoup essayaient d'imiter ce que Peter Jackson a produit ou ce que Tolkien a imaginé, mais nul n'arrive à les égaler. Un chef-d'oeuvre magistral qui au final, nous rend nostlagique par la fin de la saga. Le Seigneur des anneaux à laissé en moi sans aucun doute une profonde marque indélébile, et m'éblouit de jour en jour.