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Biographie.

Mardi 13 avril 2010 à 11:26

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G i l b e r t     G r a p e .

Un film très émouvant décrivant le combat quotidien d'une famille contre la maladie. Depuis la mort de son père, Gilbert, magnifiquement interprété par Johnny Depp, doit assumer et reprendre les rênes de la famille. Il doit plus particulièrement veiller sur son cadet, Arnie qui est souffre depuis sa naissance d'un handicap mental. Les médecins ne lui donnèrent que quelques années, mais bientôt, Arnie va fêter ses dix-huit ans. Avec deux sœurs, dont l'une est une peste, une mère dépressive qui ne sort plus de chez elle et attire la curiosité des enfants du quartier par son obésité excessive, Gilbert ne s'en sort plus. Lui seul travaille à plein temps pour subvenir aux besoins de sa famille. Un jour, il rencontrera Becky qui s'avérera être une vraie délivrance de son quotidien difficile. Dans ce film, j'ai été totalement bluffée par la prestation de Leonardo Dicaprio, interprétant le rôle de Arnie. A tout juste vingt ans, il savait déjà comment rendre un rôle crédible et intéressant, tout le monde ne saurait pas jouer un tel personnage. Il reste naturel et m'a vraiment ébloui. Au final, un résultat surprenant, bien que le film ne soit pas très connu, il révèle une histoire prenante et extrêmement troublante.

Mardi 13 avril 2010 à 8:28


E s p
a c e    c r é a t i o n .

« Après quelques minutes, le voilà, se tenant debout devant lui: un cerf le regardait, plongeant sa pupille noire et globuleuse dans la sienne, immobile, comme un tableau. Ses bois avaient subi quelques dégâts par le temps, et présentaient quelques écorchures aux pointes, sûrement obtenues en chassant son gibier. Sa gueule était parfaitement symétrique, dessinant des tâches filiformes des deux côtés de la mâchoire. Son buste majestueux se bombait avec fierté, faisant ressortir ses poils blanc moutonneux. Ses sabots, infaillibles, résistaient sur la roche lisse pour ne pas glisser. Alex pouvait admirer cet animal pendant des heures, analysant chaque petit détail, chaque ton de couleur différent de son pelage, chaque anomalie présente. La nature était décidément parfaite.  »
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Texte: De moi, ou un extrait de ma version revisitée d'Into the Wild.
Dessin: De moi, ou histoire de passer le temps en regardant Le Seigneur des Anneaux.

Lundi 12 avril 2010 à 20:05



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12th April
 
Bon retour sur Cowblog ! Juliana reprend goût à la vie, et pour la première fois de sa vie a fini de lire un livre de son plein gré. Elle le lisait dans tous ses moments libres, dans la voiture, entre deux repas, tôt le matin. C'était un livre formidable, époustouflant, étonnant, qu'elle a vraiment dévoré avec passion. Juliana en avait des frissons à certains passages. Mon Dieu qu'il est bon de ressentir à nouveaux des émotions à travers un livre ! Quoi qu'il en soit, cette petite escapade littéraire lui a donné envie de ressortir sa guitare du placard, de dépoussiérer son vieux piano et de composer. Mais au moment venu, Juliana fut désespérée: ses doigt étaient plus épais que dans le temps, par conséquent elle pinçait plusieurs cordes de la guitare à la fois ! Catastrophe ! Cependant elle persévéra et se concentra jusqu'à torturer son cerveau, et réussi toutefois à en sortir une mélodie potable. Joie !
 

Lundi 12 avril 2010 à 16:57

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  B i g    F i
s h . 
« Tu étais un gros poisson dans une petite mare, mais ici c'est l'océan et tu te noies. »

Un film étrange. On ne comprend certainement pas au premier visionnage. Edward Bloom et son fils, William n'ont jamais vraiment été proches. Pour Will, son père vit dans un monde imaginaire qu'il s'invente au fil des années, où vivent sorcières, géants, trolls et poissons géants. Edward captive et surprend cependant les foules avec ses histoires, à tel point qu'au mariage de son fils, les invités n'ont d'yeux que pour lui. Plus tard, celui-ci apprendra qu'il souffre d'un cancer. Malgré leur détachement, William va lui rendre visite sur son lit de mort, et souhaite après toutes ces années, en savoir un peu plus sur les contes loufoques et féeriques de son père. Une réalisation bien menée, naturellement par Tim Burton, nous emplissant les yeux de fantastique du début jusqu'à la dernière minute. Chacun perçoit le fond de l'histoire comme il l'entend, chacun peut façonner sa vision du film.  Ewan McGregor interprète le rôle d'Edward dans ses années fabuleuses, et y est excellent. L'expression naïve qui décore son visage lui va à ravir, nous offrant un personnage haut en couleur et adepte de la paix dans le monde. Les décors ne sont pas ternes, au contraire, ils regorgent de couleurs pétillantes et vives, ce qui rend le film agréable à regarder, et met de bonne humeur. Le film terminé, on a des étoiles pleins les yeux, et la tête pleines de rêves. Un film magnifique qui nous révèle que les adultes finalement restent de grands enfants.

Dimanche 14 mars 2010 à 16:50

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L e o n a r d o    D i C a p r i o

Bluffant. Il m'impressionne de jour en jour, ses rôles sont de plus en plus intéressants, son jeu est de plus en plus bon. Découvert d'abord dans Titanic, où je n'accrochais pas trop, sûrement à cause de toutes les minettes qui l'admiraient non pas pour son talent mais pour  son physique, retrouvé dans L'Homme au masque de fer, où il joue deux rôles à la fois, tout deux ayant une personnalité complètement différente, ce qui est très complexe et pour ça je le félicite, puis dans Gilbert Grape, où il était encore tout jeune, et joue le rôle d'un handicapé mental, qu'il joue d'ailleurs à merveille. Puis, aperçu dans Aviator, que je n'ai pas vu en entier, mais qui m'a l'air d'un très bon film, et dans Roméo + Juliette. Pour finir, dans Shutter Island et Inception où mon opinion sur lui a totalement changé. A travers ces films, je me suis rendu compte que je l'ai mal jugé, ne jamais se fier à la première idée.  Son jeu frôle la perfection j'en étais tellement abasourdie que maintenant je le vois totalement différemment. J'en suis maintenant convaincue, c'est un excellent acteur, qui sait choisir de bons rôles, et qui j'espère, va continuer à m'impressionner.


Dimanche 14 mars 2010 à 14:14

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T h e    L o r d    o f    t h e     R i n g s .
« Il y a du bon dans ce monde, et il faut se battre pour y arriver. »

La meilleure trilogie selon moi. L'histoire est parfaite, les personnages sont imaginés avec une précision au détail prêt, les acteurs jouent merveilleusement bien, les décors sont époustouflants. Frodon Saquet, jeune hobbit, est choisi pour accomplir une longue odysée à travers la Terre du milieu afin de détruire un anneaux maléfique possédant des forces inégalables. Pour cela, il est accompagné de plusieurs de ses amis, ainsi que Sam, son fidèle destrier qui a pour tache de veiller sur lui. Durant leur quête, ils devront affronter les armées d'orques de Sauron, qui sont prêtes à tout pour récupérer leurs terres. La bataille pour la paix a commencé. D'après moi, cette trilogie serait dans la liste des cents films à voir avant de mourir. On ne peut pas espérer film plus parfait: les batailles sont spectaculaires, les effets spéciaux à couper le souffle. Elijah Wood que j'aime énormément inteprête le rôle de Frodon, et il l'incarne avec une réelle émotion. Son personnage fait partie de lui, il le ressent et ce petit détail rend le film encore plus proche du spectateur. A ses côtés, Viggo Mortensen, cavalier invincible, nous rappelle ce qu'étaient les gentlemans d'autrefois, il dégage un tel sentiment de puissante, que même s'il est à l'arrière plan, on ne peut pas admirer quelqu'un d'autre que lui. Ian McKellen, alias Gandalf, vieux magicien et sage, est le messager de la paix et motive ses troupes au combat. Il est difficile de décrocher, j'ai beau le voir et le revoir, je n'arrive pas à me lasser, d'autant plus que la bande son est tout simplement magnifique. Beaucoup essayaient d'imiter ce que Peter Jackson a produit ou ce que Tolkien a imaginé, mais nul n'arrive à les égaler. Un chef-d'oeuvre magistral qui au final, nous rend nostlagique par la fin de la saga. Le Seigneur des anneaux à laissé en moi sans aucun doute une profonde marque indélébile, et m'éblouit de jour en jour.

Dimanche 14 mars 2010 à 11:20


                                      D i s c o g r a p h i e. 
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From where I am
~ Enya.

The Surface of the Sun
~ John Murphy

The Story of the impossible
~  Peter von Poehl

The winner is
~ Michael Danna

To the dancers on the ice
~ Emilie Simon

Lass uns laufen
~ Tokio Hotel

Somewhere only we know
~ Keane

Watermark
~ Enya

Wake up
~ The Arcade Fire

Climbing up Iknimaya
~ James Horner

Dimanche 14 mars 2010 à 10:45

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 E d w a r d   S c i s s o r h a n d s

Magique.Féerique. Epoustouflant.L'histoire d'un garçon, et non d'un monstre, Edward, créé et conçu en ayant un cerveau pour penser, un coeur pour aimer, mais son créateur mourut avant de lui offrir des mains. Prisonnier avec des lames de métal en guise de doigts, il s'enferme dans un château, où il y entretient un magnifique jardin en taillant des haies en forme d'animaux. Jusqu'au jour où une femme pénètre dans son univers et fait sa connaissance. Edward est alors transporté dans le monde des être humains, qui adorent la nouveauté et l'originalité, et qui le transforment en phénomène de foire, le faisant couper leurs cheveux, les poils de leurs chien et redécorer leur jardin avec ses instruments tranchants.  Edward va très vite connaître de nouveaux sentiments, tels que la joie, le mépris, la confiance, l'amour. Mais il va aussi apprendre, que les être humains n'aiment pas ceux qui sont différents, en se faisant chasser de son village, pour enfin finir ses jours dans son château et son monde imaginaire. Un film magnifique, avec Johnny Depp dans le rôle d'Edward, tout droit sorti de l'imagination de Burton.

Samedi 13 mars 2010 à 23:34

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E m i l e   H i r s c h. 
Récemment découvert dans Into the Wild. Je jugerais donc son talent d'acteur sur ce film.  Magnifique prestation, je n'aurais vu personne d'autre incarner ce rôle. La fin alors, est incontournablement, mon passage préféré, on peut vivre la souffrance et l'apaisement en même temps que lui. Dans ce film, il réunit toutes les expressions et sentiments, sur son visage, qu'un être humain peut exprimer durant toute sa vie. Ce rôle lui va tellement bien, il dégage ce quelque chose d'indescriptible, mais tellement touchant, qui pour moi, qualifie un bon acteur.

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R o b e r t    D o w n e y    J r .
Récemment découvert dans Sherlock Holmes. Un film que j'ai d'ailleurs adoré. D'une part par l'action, de l'autre par ces acteurs principaux. Robert Downey Jr en fait partie. J'aime cette façon qu'il a, dans le film, de cultiver l'art du "je-m'enfoutisme" , tout en conservant une classe monstre. Il a d'ailleurs des petits airs de Dr.House, et de Mr.Jack Sparrow, quelques mimiques et idées sont similaires. En plus de, je suis sûre, être un bon acteur ( un seul film suffit, pour moi, pour pouvoir en juger ), il a un charisme fou, et fait partie d'un des nombreux acteurs qui je trouve, sont furieusement beaux, et ce malgré leur âge.

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J u d e   L a w .
Découvert dans The Holiday, où il joue d'une façon extrêmement naturelle et naïve ( dans le bon sens du terme ), puis dans les pubs fabuleusement fabuleuses d'Hugo Boss, où on a même droit à un de ses jolis sourires qui me font littéralement fondre, et finalement retrouvé dans Sherlock Holmes, où il incarne John Watson, le bras droit de Mr.Holmes. La moustache lui va si bien, et ces yeux ... Comme tous les autre acteurs énumérés plus en haut, je trouve personnellement qu'il joue plutôt bien, même très bien à vrai dire. Il sait comment interpréter chaque expression et sentiment humain sur son visage. Et avouons-le, il est furieusement beau. 

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R a c h e l    M c A d a m s .
Pour la première fois dans Lolita malgré moi, où elle était encore blonde et jouait le rôle d'une infime peste, puis dans The Notebook, qui au passage, est vraiment  émouvant et enfin, comme les deux acteurs au dessus, retrouvée dans Sherlock Holmes, où elle joue le rôle Irène Adler, une envoûtante séductrice. J'aime son regard, pétillant et mystérieux, j'aime son sourire décoré de fossettes, j'aime son jeu d'actrice, qui me plait de jour en jour, et qui m'incite à découvrir d'autre film où elle fait partie du casting.   

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J o n a t h a n   R h y s  - M e y e r s.
Aperçu dans Joue la comme Beckham aux côtés de Keira Knightley, puis dans Alexandre avec Colin Farrell et Angelina Jolie, puis dans Mission Impossible III, et enfin retrouvé à mon plus grand bonheur dans la série Les Tudors. C'est surtout grâce à son rôle de roi d'Angleterre, Henry VIII, que j'ai commencé à trouver son jeu d'acteur bon. Il est très convainquant en souverain, sait comment agirait un vrai roi dans n'importe quelle situation, et j'aime quand il fait semblant d'être énervé et qu'il nous fait ses gros yeux. Et quels yeux ! J'aime cette façon qu'il a de pleurer avec tant de naturel, pas comme d'autres dont je ne citerais pas le nom, et ce pouvoir qu'il a quand il hausse la voix.  En espérant qu'il continuera a m'éblouir.


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K a t e   W i n s l e t . 
Très bonne actrice. Découverte tout d'abord dans Titanic, où elle est fabuleusement belle en rousse, et excelle déjà , pour moi. Vue ensuite dans Neverland, aux côtés de Johnny Depp, où elle joue Sylvia, une mère de famille malade et mourante, et en donne vraiment l'impression. Remarquée ensuite dans The Holiday, aux côtés de Jude Law. Elle y interprête une femme voulant tout changer dans sa vie, à cause d'un chargin amoureux, et décide de faire un échange de maison et de vie pendant une semaine avec une autre femme, qui n'est autre que Cameron Diaz. Je viens de découvrir qu'elle tient aussi un rôle de narratrice dans Le Renard et L'enfant, que j'ai naturellement vu. Son talent est grand, elle se différencie de toutes les autres actrices pour moi. Je n'ai pas d'actrice préférée, mais si je devais en choisir une, ce serait sans hésiter elle.


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J a m e s   F r a i n . 
Un acteur un peu "timide" je dirais. Sa filmographie contient plus de petit rôle dans des séries que dans des films. D'abord vu dans Médium, puis dans Bleu d'enfer aux côtés de Jessica Alba et Paul Walker, et admiré dans les Tudors, aux côtés de Jonathan Rhys-Meyers. Son rôle est celui de Thomas Cromwell, bras-droit du Roi. Pour moi, ce rôle l'a révélé. J'ai été ébahie au fur et à mesure que je le voyais dans la série. Son jeu était de plus en plus bon, durant chaque épisode. Il grave des expression sur son visage que j'aime tellement, des expressions vraies, des expressions qui traduise de suite le sentiment qu'il essaye d'exprimer. Si quelqu'un d'autre les tenterait, il paraîtrait ridicule. De plus, son doubleur est excellent, et colle vraiment bien avec le personnage qu'il interprète avec brio. Pour moi, c'est une des révélations du côté acteur.

Vendredi 12 mars 2010 à 21:45

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T h e   V i r g i n   S u i c i d e s .  
"The trees, like lungs, filling with air. My sister - the mean one - pulling my hair" .

Envoûtant. Tellement profond, c'est le genre de film qui vous marque pour longtemps. Cinq soeurs, vivant dans une petite bourgade américaine, tentent désespérément de trouver leur place, entre des parents adeptes de religion leur interdisant chaque plaisir de la vie et une adolescence emprisonnée. La plus jeune d'entre elle, Cécilia, finit par se donner la mort en sautant du premier étage. Après ce drame, leur parents redoublent de protection, les empêchant de sortir et les enfermant sans cesse dans leur chambre. Durant ces longues journées, seules et coupées du monde, elles se renferment complètement dans une bulle impénétrable, s'inventant des escapades dans les pays lointains à l'aide de magasines ou d'un journal intime. Ces cinq filles auront vécu un véritable calvaire entre 14 et 17 ans qui les aura pousser à toutes se suicider. Le film est vu à travers les yeux de quatre garçons, qui durant tout ce temps, auront tout fait pour les sauver, en vain. Un film frustrant, laissant transparaître la torture mentale de ces filles et leur isolement, une bande-son signée Air totalement étrange, une fin incomplète qui laisse planer des doutes et des interrogations. Ce film nous fait voir avec regret la courte vie de cinq soeurs, essayant sans cesse de chercher de l'aide et finalement n'en ayant pas trouvé.

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