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Biographie.

Mardi 27 juillet 2010 à 1:16


http://photographic-memory.cowblog.fr/images/piratesdavy.jpgP L A Y L I S T 

 (  H A N S    Z I M M E R    ROCKS !  )   


Dream is Collapsing - INCEPTION

Time - INCEPTION 

One Day  - PIRATES OF THE CARIBBEAN

Up is Down- PIRATES OF THE CARIBBEAN

Discombobulate - SHERLOCK HOLMES

Main Theme - GLADIATOR

Now we are free - GLADIATOR

The Simpson Theme - THE SIMPSON

This Land - THE LION KING

Victory - THE KING ARTHUR

Dimanche 25 juillet 2010 à 20:09

 
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http://www.filmofilia.com/wp-content/uploads/2009/08/inception.jpgSi vous n'avez pas encore eu la chance de voir ce film, je vous conseille de ne pas lire mes explications si vous voulez garder le suspens.

Je suis allée le voir cet après-midi au cinéma, et je dois dire que j'ai été bluffée. Le film est incroyablement bien mené, tordu et stressant. Une fois de plus, Leonardo m'a saisie et impressionnée dans sa façon de jouer qui est époustouflante. Il a dès à présent su gagner une place sur mon piédestal de mes acteurs favoris. C'est fou comme chacune de ses expressions dans ce film est arrivée à me toucher aux tripes. Son rôle est à nouveau celui d'un personnage torturé par ses sentiments et rongé par la culpabilité, qui n'arrive au final plus à distinguer le rêve à la réalité. A ses côtés, Ellen Page qui est indispensable à ce film à mes yeux. Alliant Cillian Murphy, Marion Cotillard, Joseph Gordon-Levitt et une panoplie d'acteurs talentueux, ce film est pour moi une véritable petite pépite façonné selon Christopher Nolan. L'histoire est celle de Dom Cobb, voleur expérimenté: sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. Ce concept est tout d'abord assez complexe à comprendre: c'est ainsi que Cobb et ses compagnons se retrouvent dans un rêve emboité dans un autre rêve, qui lui aussi est dans un autre rêve etc ... La fin du film est extrêmement floue et confuse: on ne sait pas si Cobb est revenue à la réalité ou vie encore dans un rêve. Ca a le don de m'agacer ( dans le bon sens ) car je déteste planer dans l'incertitude. Christopher Nolan à réussi tout au long du film à pratiquer une formidable inception sur l'ensemble de ses spectateurs en semant la confusion.

Vendredi 23 juillet 2010 à 17:54


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H e l e n a   B o n h a m   C a r t e r .

Une actrice que j'adore et que je qualifierais de "passe-partout", dans le sens où elle s'adapte à un rôle tellement rapidement et facilement que sa prestation à l'écran en devient captivante. Un autre mot visant à la décrire serait "caméléon". Elle se glisse dans ses personnages et ne fait qu'un avec eux, si bien qu'on a l'impression de la redécouvrir elle, son jeu et des facettes de sa personnalité à chaque film. Je ne me rappelle plus dans quel film je l'ai vue pour la première fois, il me semble que c'était Charlie et la Chocolaterie ou elle incarne la mère de Charlie Bucket, un petit rôle mais dans lequel on la remarque pourtant dès le départ. Puis, les films se sont enchaînés: Big Fish, Harry Potter, Les Noces funèbres, Sweeney Todd et Alice in Wonderland où elle incarne la diabolique et impitoyable Reine Rouge. Je l'ai connu grâce à mon réalisateur fétiche, Tim Burton, qui n'est autre que son cher mari. Il trouve toujours un moyen de la caser dans le casting et de le faire ainsi gagner en valeur. Tantôt elle joue la complice du redoutable Benjamin Barker à décapiter ses victimes pour ensuite en faire de la viande avec laquelle elle garnira ses tourtes, tantôt elle incarne une femme amoureuse ayant attendu qu'un homme lui ayant fait la promesse de revenir frappe à nouveau à sa porte. Ses rôles sont variés, et pourtant toujours interprétés avec brio et naturel. Chapeau bas. 

Vendredi 9 juillet 2010 à 17:25


R u b r i q u e
:  S p é c i a l e    H a r r y    P o t t e r .

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Comme le dernier volet de la saga Harry Potter sort en novembre, j'ai pensé faire une petite rubrique spéciale sur les acteurs du film, les déceptions et les révélations.


D a n i e l    R a d c l i f f e :
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Ah, Daniel, Daniel ... La première chose qui me vient à l'esprit quand j'entends son prénom, c'est " fausses larmes". Evidemment, ça ne doit pas être facile de pleurer sur commande, mais tout de même, c'est son job. A par ça, un assez bon acteur. Dans le premier volet de la saga Harry Potter, je le trouve trop mignon, naïf. C'est fascinant de voir l'évolution de son personnage entre le premier et le dernier film. Pour moi, on dirait qu'il se force terriblement à afficher certaines expressions sur son visage, donc je dirais, une petite déception pour moi qui croyait que son jeu s'améliorerait au fil des volets.

R u p e r t   G r i n t :
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Rupert, ou le malchanceux. Celui qui a lamentablement cassé sa baguette, celui qui ne reçoit que des pulls tricoté par sa mère à Noël, celui qui s'est fait mordre à la jambe par Sirius Black dans Harry Potter 3, ou Rupert, celui qui a su gagner mon cœur. J'adore sa façon de jouer, réfléchie mais extrêmement naturelle. On a l'impression de se retrouver devant son voisin d'en face, un garçon comme les autres. J'attends impatiemment le dernier volet de la saga pour que mon opinion sur lui se confirme. Il reste fidèle à lui-même, et c'est ça que j'aime chez lui.

E m m a   W a t s o n :
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Une comédienne qui me plaisait au début de la saga, mais que j'ai délaissé vers la fin. Ce n'est pas méchant, juste que son jeu est un peu fade. J'ai l'impression que son personnage n'évolue pas, elle garde toujours cette expression de crainte sur son visage, c'est déprimant. Par contre, je l'ai beaucoup aimé dans les 3 premiers volets d'Harry Potter, mais par la suite, son personnage s'est effacé et n'est plus vraiment intéressant. Dommage.

T o m   F e l t o n :
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Grosse révélation pour moi. J'adore son personnage dans Harry Potter, les rôles de méchants sont toujours plus intéressants que ceux des gentils. J'adore sa façon de se tenir, de parler. J'adore ses expressions du visages qu'il garde neutres mais qu'il joue merveilleusement bien au moment venu. J'adore le fait qu'on ne le voit pas tout le temps, déclenchant une impatiente pour apprécier son apparition suivante. Dans un premier temps, je ne l'appréciait pas plus que ça, à vrai dire, je crois que je n'appréciais pas son personnage.  J'ai changé d'avis. Son jeu ne fait que m'impressionner et j'espère bien que ça durera.

B o n n i e   W r i g h t :
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Je ne connais pas bien cette actrice, donc je ne vais pas me permettre de la juger en tant que personne, mais seulement son rôle dans la saga. Pour moi, une déception. La preuve: je ne la remarque pas. Ses apparitions ne sont pas marquées, on les oublie vite. Son jeu est ... un peu "coincé". Ses mouvements manquent de fluidité, son expression ne change jamais. Au fond, un personnage très mystérieux qu'on arrive pas à décrypter. Après, je ne sais pas si c'est le script qui exige que son jeu soit aussi inexistant, mais pour moi, son personnage ne serait pas indispensable. Sinon, avouons-le, elle a terriblement changé, et est devenue furieusement belle.

A l a n    R i c k m a  n :
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Un acteur brillant. Il n'y aurait qu'un seul mot pour décrire son jeu d'acteur en tant que Severus Rogue: époustouflant. Quel est donc son secret ? Pour moi, un des meilleurs acteurs du film. Il joue la carte du prof sadique agent-double à la perfection, avec un naturel surprenant. Ses traits sont graves, ses yeux perçants, son rictus froid. J'adore ! Le rôle du grand méchant est, en ce qui me concerne, bien plus difficile à jouer que celui du héros. Il faut être convainquant, il faut impressionner et innover à chaque apparition, ce qu'il sait faire avec la plus grande facilité. Il rend son personnage tellement intriguant, tellement attirant, tellement étrange qu'il ne peut être qu'apprécié et détesté à la fois. LA révélation du film Harry Potter, pour moi.


Je n'ai pas cité tous les acteurs, la liste serait trop longue. Je n'ai cité ici que les principaux, en ayant une petite pensée pour Michael Gambon sur lequel j'ai déjà pu faire mon opinion extrêmement positive dans Sleepy Hollow.
Une pensée aussi pour Ralph Fiennes que j'attends de connaître un peu mieux et d'apercevoir dans d'autres rôles.

Vendredi 9 juillet 2010 à 16:28

 
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P i r a t e s    o f    t h e    C a r i b b e a n  .

« Bienvenue aux Caraïbes mon ange. »

       Un chef d'œuvre. Autant au niveau visuel qu'au niveau de la réalisation. Je pense que ce n'est pas la peine de résumer l'histoire, tout le monde la connait. Je vais faire court car il y a tellement de choses à dire sur ce film que le blog entier ne suffirait pas. Un casting prestigieux, alliant Orlando Bloom, Keira Knightley et l'incontournable Johnny Depp dans le rôle de Jack Sparrow. Ce personnage lui va tellement bien, il l'a façonné à son image: drôle, décalé, bourré de charme et doté d'une classe inouïe. D'une certain manière, il donne une saveur au film. L'histoire est prenante, bien menée on s'y accroche et quand les lumières se rallument, on en veut encore, on en redemande. Les dialogues, l'enchaînement, les costumes, les acteurs, tout est parfait. Puis il y a eu le deuxième volet, et le troisième, qui sont tout aussi excellents, mais plus fades selon moi. Il y a quelque chose qui me dérange dans ces deux derniers volets, j'ai du mal à dire que je peux les regarder en boucle sans m'en lasser.  Il y a comme une sorte de progression au niveau de la trilogie. En ce qui concerne le deuxième volet, j'ai adoré l'idée de l'île aux cannibales. Les couleurs sont envoutantes, plus vives, acidulées ce qui donne une énergie incroyable au film. La fin reste une énigme: après être secoué par la mort prématurée de l'incomparable capitaine Jack Sparrow, le triomphant capitaine Barbossa revient d'entre les morts et souhaite tout mettre en œuvre pour ramener Jack parmi les vivants. La suite s'impose ! Le troisième volet m'a un peu déçu, l'univers de Pirates des Caraïbes n'étant plus vraiment présent. Il en reste néanmoins un très bon film. Une chose n'a pas changé durant ces trois films: la musique menée par Klaus Badelt qui est absolument brillante. Gore Verbinski et Jerry Bruckheimer ont réalisé un véritable petit bijou en montant cette trilogie. Au programme: action, combat, entourloupes, îles tropicales, sable fin, pirates ténébreux, affreux méchants et éblouissement garanti.


Mercredi 21 avril 2010 à 20:38

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D i s c o g a p h i e .



Into the Wild
Eddie Vedder / Michael Brook.



~
Long Nights

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Best Unsaid

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Rise

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Guarenteed

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Hard Sun

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The Wolf

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No Ceiling

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Tuolumne

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Society

~
Swimming and Horses





Jeudi 15 avril 2010 à 13:03

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F i n d i n g    N e v e r l a n d . 

« On a tous besoin de croire que quelque chose existe au delà de la banalité du quotidien.
Être capable de se transformer en quelque chose de mieux, même si personne ne croit en vous.
»

Une version revisitée extraordinaire de Peter Pan. James Barrie, écrivain, est en quête d'un nouvel élan créatif: sa nouvelle pièce de théâtre est attendue impatiemment par tous, sa dernière ayant été décevante. Désespéré, il préfère s'isoler seul dans le parc pour libérer son imagination. Là bas, il fait la connaissance de Sylvia et de ses quatre jeunes fils. Une complicité immédiate se noue entre l'écrivain et les enfants, et Sylvia trouve en James un ami et confident. En passant ses journées avec ces enfants qui sont sa source d'insipration, James retrouve son âme d'enfant. Au final, il s'inspirera de son temps passé avec eux pour créer la pièce qui fera son succès: Peter Pan. Un casting magistral avec Johnny Depp dans le rôle de James, et Kate Winslet dans celui de Sylvia. Comme à leur habitude, ils sont excellents, tantôt Johnny pour son incroyable jeu d'acteur, tantôt Kate pour son naturel et son rôle lui collant parfaitement à la peau. On retrouve également Dustin Hoffman dans un petit rôle, mais il n'en est pas moins époustouflant. Freddie Highmore, vu dans Charlie et la Chocolaterie, est aussi de la partie. Un petit mélange explosif qui se voit au résultat final de la production. Un film tragique et tellement poignant qu'à la fin on en ressort ému. Accompagnant les enfants dans leurs rêves, ressentant la douleur de la maladie de Sylvia, ce film ne laisse pas indiférent, et résume un quotidien pleins de fantastique malgré les difficultés qu'il impose. Un pur chef-d'œuvre, et un délice pour les yeux.

Mercredi 14 avril 2010 à 13:13

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        Ron, j'aimerais te redonner ce conseil encore une fois: je pense que tu devrais changer radicalement ton style de vie et te mettre à faire courageusement des choses que tu n'aurais jamais pensé faire, ou que tu as trop hésité à essayer. Il y a tant de gens qui ne sont pas heureux et qui, pourtant, ne prendront pas l'initiative de changer leur situation parce qu'ils sont conditionnés à vivre dans la sécurité, le conformisme et le conservatisme, toutes ces choses qui semblent apporter la paix de l'esprit, mais rien n'est plus nuisible à l'esprit aventureux d'un homme qu'un avenir assuré. Le noyau central de l'esprit vivant d'un homme, c'est sa passion pour l'aventure. La joie de vivre vient de nos expériences nouvelles et donc il n'y a pas de plus grande joie qu'un horizon éternellement changeant, qu'un soleil chaque jour nouveau et différent. Si tu veux obtenir plus de la vie, Ron, il faut perdre ton inclination à la sécurité monotone et adopter un mode de vie désordonné qui dans un premier temps te paraîtra insensé. Mais une fois que tu seras habitué à une telle vie, tu verras sa véritable signification et son incroyable beauté. [...] Déplace-toi, sois un nomade, que chaque jour t'offre un nouvel horizon. Si tu penses que la joie vient seulement ou principalement des relations humaines, tu te trompes. Dieu l'a disposée tout autour de nous. Elle est dans toute chose que nous pouvons connaître. Il faut seulement que nous ayons le courage de tourner le dos à nos habitudes et de nous engager dans une façon de vivre non conventionnelle.


I n t o    T h e    W i l d   ~

Mercredi 14 avril 2010 à 12:49



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14th April.

Après ces quelques jours de solitude, Juliana est venue à la conclusion qu'un peu de compagnie ne fait que du bien. La solitude permet cependant d'isoler son esprit de toute cette agitation du monde extérieur, et être en parfaite communion avec soi-même. Juliana hésite alors quant à faire un choix. Elle préfère sans doute la compagnie animale.
Hier, Juliana a regardé La ligne verte,et comme à son habitude, a pleuré. Qui ne pleurerait pas devant une telle injustice ? Elle ne comprend pas comment les hommes peuvent être aussi mauvais les uns envers les autres. L'hypocrisie, le pouvoir, la cupidité. Ce film l'a profondément bouleversée, l'image de la chaise, de ces innocents,  de ces complices, de ces victimes. Juliana essaye de s'imaginer quel sentiment submerge les condamnés avant de mourir. Elle en est secouée. Dans quel monde vit-on ?

Mercredi 14 avril 2010 à 10:47

http://pics.livejournal.com/dragonflyswings/pic/00122dgt       http://photographic-memory.cowblog.fr/images/0011w4sg.jpg       http://photographic-memory.cowblog.fr/images/guideufisch04.png       http://photographic-memory.cowblog.fr/images/0012yayq.jpg

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  H u g h    L a u r i e 

Décalé. Un acteur que j'adore. D'abord vu dans Stuart Little, puis dans l'homme au masque de fer aux côté de Dicaprio, je l'ai enfin retrouvé dans la fameuse série Dr.House. Au début de sa carrière, il jouait souvent de petits rôles, et était aussi beaucoup dans les castings des films pour enfants. Aujourd'hui, le monde le connait principalement sous le nom de House, où l'incroyable manipulateur cynique. Mon opinion sur lui est très positive. Il a une façon de jouer extrêmement naturelle, il s'est inventé des mimiques bien personnelles, et garde toujours cette expression sévère sur son visage. Il n'a honte de rien, et son jeu est totalement bluffant. Sa personne se confond presque avec son rôle, et c'est ce qui, pour moi, qualifie un acteur talentueux.

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